
Comme zézé l'aurait aimé avec son oranger, je tire un dernier portrait ces arbres qui bientôt ne seront plus...
(cliquez, mais cliquez donc!)
Je me souviens sa douceur, son calme tandis que la tempête s'agacait derrière la fenêtre.
Nous voulions changer d'univers. Nous en avions assez des poses dénudées.
Et pendant qu'elle réflechissait, j'enlèvais mon pull et lui passait sur les épaules.
Le reste n'est qu'une sombre affaire de clair-obscur...