The Chase - par PJ -

(clique ami !)

Ce n'était pas vraiment une journée de veine photographique. Pierre jouait les photographes de mode avec Camille. Moi non. J'aperçois une petite fille si mignonne qu'elle vous donnerait envie d'avoir un gosse dans la seconde qui suit. J'hésite à la prendre en photo... On ne sait jamais, je pourrais me faire tabasser par la père en me faisant traiter de pervers... Mieux vaut la jouer finement. Je prends donc, las, une photo de leurs jeux. Ma foi, le résultat va au delà de mes espérances...

Darkness my old friend - par pierre

C'est vraiment la musique qui m'a donné comme une sorte de pulsion. Elle sent la rêvasserie, la solitude, une impression de ne pas être à sa place, de ne se rendre compte de rien alors que le monde tourne.
Je suis allé repêcher cette photo qui date un peu, juste pour illustrer ce beau morceau de Bon Iver. Qui m'a plongé dans un spleen délicieux, emprunt de nostalgie.

Cliché d'été : eau en suspens - Par Elsa

Le creux de la vague en suspens dans sa course infernale. Ephémère strie laissée par l'humain. Et nouveau rouleau.

Cliché d'été : fend-la-vague - Par Elsa

Body surf. Anticiper la vague. Quand elle gronde au-dessus de l'épaule, ramer comme un dératé. Se sentir soulevé lentement, puis projeté avec une violence folle. Jusqu'au rivage.

chip - par pierre

C'est le moment où il ne faut pas se louper. Un premier drive. Sur ce par 3, le green est difficile à atteindre depuis le départ. Il faut faire une petite approche. Le gazon est rapide: il faut se livrer à un exercice qui a l'air simple: prendre un pitchwedge, et le relever assez peu en backswing avant de taper dans la balle, et s'arrêter net dessus.

On fait alors un petit coup qui fait tomber la balle presque à pic sur le green.

Summertime - par PJ -

(clique, toi rare lecteur qui s'aventure par ici)

Le titre est facile, je le reconnais, mais la version des Stereophonics s'accorde très bien avec l'image.

J'ai fais poser mon joli p'tit Lo pendant une heure avant de siester allègrement au soleil, tel un matou des bas quartiers. D'aucuns diront que ma série de photo est clichée. Je m'en fous. Le cliché est bon tant qu'il est bien exploité et que le modèle donne une touche unique à la photo.

Qu'on s'le dise.

Un été à Paris - par Anastasia -

Douce soirée...

Cliché d'été : coureur & penseur - par Elsa

Le soir, la Croisette se vide, les badauds se dispersent. Restent alors ceux qui ont bien vu que la Méditerrannée n'était pas de la même humeur que d'habitude. Et face au déferlement peu coutumier, l'un médite et l'autre bondit.